Sofuku

La conquète du monde* par The Big Gameovski…

(enfin, du pays)

(la région plutôt)

(ville…)

(en tous cas ça fonctionnera au moins pour mon pallier d’immeuble !)

 

N’étant pas plus malin que la moyenne, j’ai jeté quelques idées pour les streams de la rentrée. Je rappelle que le projet est de proposer un mag’ ciblé midlife gamer où le propos n’est pas tant d’être technique mais plutôt synésthésique dans l’approche des sujets. Et plutôt que de le marquer en vrac à un endroit que je paumerai, j’ai trouvé pas inutile de vous le partager ici (au moins : je retrouverai !).

 

L’objectif premier c’est de pouvoir reprendre la cadence du stream quotidien de 19 heures. Ça devrait pouvoir se faire tranquille jusque décembre puisque les enregistrements sont faits par lots et, oh look : grandes vacances ! Là où c’est un poil plus délicat, ça concerne les machines à émuler, car j’ai quasiment fait tous les shmups d’arcade. Si vous arrivez à surpasser votre timidité, je serai heureux d’accueillir vos propres streams sur des plateformes un peu exotiques auxquelles je n’ai pas forcément accès.

L’autre objectif, qui démarre de zéro, c’est de commencer à nouer réellement des contacts avec certains studios & éditeurs de manière à pouvoir vous garantir au moins 1 stream nouveauté ou en dév’ chaque semaine. Ce n’est pas si simple et si tu me lis, toi qui va sortir ce jeu sur lequel tu as trimé, n’hésites pas à me contacter. TBG n’a pas de budget jeu vidéo et personnellement je suis comme tout le monde : je m’offre un jeu à 60€ tous les 6 mois en moyenne. Donc même un clé temporaire fait l’affaire puisque c’est d’un simple mode review, produit fini ou pas, que l’émission aborde ses sujets.

 

Echo

En objectif parallèle, il y aura aussi d’avantage de guests dans les streams. Des « voisins numériques », gamers ou pas, mais aussi du Super Player, ou encore des dév’ ou éditeurs venant partager un bout de leur passion. Là aussi, les prises de contacts sont ouvertes. Pour Septembre je vous promet un stream sur un outils pour fabriquer soi-même son shmup juste avec quelques notions de programmation par exemple.

Dernière partie, le côté magazine car des vidéos ne font pas tout et ça reste bien agréable de lire un dossier complet à son rythme plutôt qu’un stream qui sur la longueur endort un peu. Oui lors du sondage vous avez été une grosse majorité à mentionner qu’un stream review devrait de préférence se cantonner à une trentaine de minutes ou moins et je ne saurais vous contredire. Le soucis de la partie magazine c’est qu’il faut réellement fabriquer le contenu de manière propre  et que contrairement aux croyances ça bouffe beaucoup plus de temps qu’un stream enregistré en une prise live. Là aussi je fais un peu du pied sous la table aux âmes qui se sentiraient inspirées pour partager leurs articles. Concernant les sujets qui pourraient être intégrés reportez-vous à cet article.

 

https://youtu.be/RyWimcAH0KA

 

Voilà pour les grandes idées qui devraient faire votre The Big Gameovski de la rentrée. Une seule évolution restera hors actualité : le montage des émissions ; je n’ai ni les capacités ni le temps.

Nolife Complete…

Oui, dimanche j’étais comme vous. Interpelé et à la fois indécis sur les propos de Sébastien -da Boss- Ruchet sur la chaine. Placer des tels propos un premier avril empêchait toute réaction à chaud. Surtout connaissant l’équipe pour monter des bateaux quasi parfaits ayant mené par le bout du nez presque l’intégralité du public plus d’une fois.

Je vais donc évoquer la fin de Nolife une unique fois dans cet article puisque pour une chaine qui s’est offert 11 ans d’Extended, je trouve plutôt réussi ce pari posé sur une simple incertaine année de départ. Oui, même s’il faudra désormais faire sans, la chaine restera présente un peu partout par ce qu’elle a essaimé, comme ces fameuses idées qu’on ne peut pas arrêter.

 

Comme introduire les musiques Asiatique dans des contrées qui n’en avait que faire jusqu’à présent. Et permettre au gens de réaliser qu’il n’y a pas qu’un son Nippon.

Comme présenter l’univers jeux vidéo aux travers de News. Une chose qui parait simple mais qui est la tension permanente d’une chaine vu que contre vents, marées, et sorties au compte goutte il faut continuer d’alimenter ce gourmand flux.

Comme ces émissions qui étaient ou sont devenues de véritables petits satellites indépendants, ayant leur propre autonomie tout en contribuant à la chaine. Ces personnes et ses séries lancées qui désormais s’élèvent vers une reconnaissance méritée et portent chacune un petit bout de Nolife plus loin et pour longtemps encore.

Comme créer des documentaires complets et très poussés dans des domaines gravitant dans et autour de l’univers geek. Avec des reportages, des interviews, des extraits déclenchant régulièrement dans le public des « Ah mais oui je me souviens de ça ».

 

Car Nolife ça n’était pas qu’une chaine pour ados & geeks dits attardés mais bien l’équivalent d’un Arté dédié au numérique, touchant 2 générations fraichement débarquées nées en même temps que l’informatique domestique. C’est fort dommage que peu de monde l’ai perçue ainsi, en particulier au prés des professionnels qui devront se contenter désormais de supports médias calibrés & stéréotypés où le flood prime avant la qualité des contenus.

 

 

Amusement, culture & technologies… qu’est-ce qu’on s’est régalé. Et qu’est-ce qu’on se régalera encore ! Car si la chaine disparait, les pros derrière demeurent. Oui, ces personnes pas toujours bien considérées qui, ayant pour moteur la passion bien avant le fric ont osé prolonger un One Credit pendant 11 ans !

Alors bravo Nolife ! Bravo les équipes, les intervenants, les soutiens, le public, BRAVO ! En ultime démonstration on retiendra qu’il est possible de créer de toutes pièces une chaine TV avec pour simple motivation le partage des passions et la faire durer dans un esprit d’indépendance qui n’existe plus trop dans les médias actuels. La recette utilisée est perfectible, mais qu’est-ce qu’on s’est régalés pendant tout ce temps. Merci.

 

 

… et puis maintenant je ne me ferai plus engueuler parce que j’écris Nolife NoLife. XB-P

 

Le projet The Big Gameovski…

Il y a des moment où l’on se sent dépourvu. Les différentes expériences précédemment lancées se sont avéré mois attractives que prévu ou n’ont tout simplement pas fonctionné. Alors on s’assoit pour réfléchir. Et c’est là qu’on réalise qu’on est en fait assis sur une mine d’or depuis un petit moment…

C’est exactement ce que je me suis dit quand, ayant mis une bonne partie de mes projets & envies en pause, j’ai réalisé ce qu’était la chance d’être un Midlife Gamer dans les années 2010. Pourquoi ? Parce que nous avons vu naitre la révolution numérique. Que nous avons joué avec, l’avons parfois détourné et souvent rions des paradoxales incompréhensions entre machines & humains. Et donc quel que soit le nombre d’années écoulées, prendrons toujours un malin plaisir à jouer avec nos… bits.

 

UN MAGAZINE POUR LES MIDLIFES

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, cette tranche de la population pourtant importante est toujours négligée en 2018 concernant les médias du moment.C’est trop Old pour être du client de produits tape à l’oeil qu’on oubli 15 jours après l’acheter. Et la réalité économique fait que de moins en moins de personnes construisent leur famille selon les protocoles établis. C’est donc sous une sorte de défiance que peut paraitre le fait d’être quadra, sans fanatisme de famille constituée en particulier, ni carrière ou intéressement pour l’enrichissement personnel en biens matériels. Et mine de rien, c’est probablement la niche qui enfle le plus en ces mid-2010’s. C’est pourquoi j’ai décidé d’y pousser mon changement. En créant The Big Gameovski. Qu’ils soient de tendances hippies high tech, hikikomori dégoutés de la société ou gamers chroniques, les midlifes sont un public de connaisseurs qui contrairement à la légende apprécient de nombreux plaisirs. Et le fait que ces derniers soient essentiellement numériques n’empêche pas qu’ils constituent une forme gracieuse de savoir vivre.

Ça fait plus de 35 ans que nous ruinons des joysticks. Bricolons des machines. Et cherchons de nouvelles émotions au travers des différents médias toujours plus nombreux. Mais aucun ne nous parle vraiment. C’est là qu’entre en scène The Big Gameovski.

Une réponse pour tous, mais en particulier ces gens bien plus nombreux qu’on imagine qui n’ont pas encore trop cédé aux routines famille – boulot – dodo. Le Midlife Gamer est un épicurien. Il a parcouru tellement de jeux vidéo qu’il peut se permettre de sélectionner avec exigence les titres auxquels il joue et qu’il ne manque pas de recommander à l’entourage. Il écoute des musiques bariolées venues de toutes les influences du monde et du cosmos sans chercher à se limiter à un style. Il observe les exploits graphiques que les techniques & outils permettent en permanence de renouveler. Une recherche non-stop de ces émotions que le quotidien n’offre plus vraiment, de frissons de bonheur comme d’instants terrifiants pour s’amuser sur la gamme des sentiments qu’on voudrait voir bâillonnés et bien rangés sur l’échelle de ce que les médias offrent uniformément en pâture. Et The Big Gameovski se propose tout simplement d’être le coup de pied dans cette fourmilière d’uniformisations !

 

LE CONTENU ?

Pas de révolution de ce côté ci, ce sera sous la forme d’un magazine numérique avec l’intention de publier de la news à un rythme hebdomadaire, peut être quotidien un jour si le projet développe au delà des espérances.. L’unification se fera autour du jeu vidéo car il rassemble aisément les différentes tranches d’ages. Technologie & médias seront d’autres articles de fond en complément, que ce soit pour la découverte ou la pratique. Une pincée de social, de sexo’ et quelques billets à contre-courant seront l’enrobage final. Sans honte ce projet peut être résumé à un mélange improbable du Joystick de l’époque, Lui et Hara-Kiri. Vous situez mieux à présent ?

 

LES OUTILS

L’âme de The Big Gameovski se concentre essentiellement en billets blogs et moments vidéo. Un site web (celui-là pour commencer) et les espaces des hébergeurs vidéo seront amplement suffisants. S’il est à peu prés simple de gérer une des ressources premières qu’est le temps à accorder au projet, il en va autrement pour tout ce qui concerne les moyens. C’est pour cette raison que The Big Gameovski devrait rapidement migrer sur une plateforme de soutien participatif ; Tipeee est actuellement sélectionné pour ce rôle. Il permettra d’offrir des contenus et d’obtenir un support concret du public ayant adopté la publication. De surcroit il sera aussi bien pratique pour limiter l’accès à des dossiers « plus sensibles que la moyenne » qu’on ne voudrait pas trop voir trainer sur les écrans de nos têtes blondes. Cette catégorie d’articles sera dans des sections abonnés uniquement, tout comme d’autres dossiers grand public particulièrement travaillés rendus de ce fait payants, servant à financer le magazine, permettre de fournir du nouveau contenu. Il n’est bien entendu pas question de se rémunérer mais juste se donner les moyens de pouvoir avancer. Acquérir des outils numériques propres utiles aux créations de contenus et diffusions. Permettre de partir en reportage. Favoriser la communication vers l’extérieur. Et, j’y tiens, financer la réunion annuelle IRL de la rédaction qui, numérique aidant, sera disséminée tout autour du monde. Et dont vous ferez peut être partie ?

 

DANS L’ETAT ACTUEL

The Big Gameovski est pour l’instant très axé jeux. Le canal vidéo Youtube est déjà généreusement pourvu de streams concernant quelques nouveautés jeux vidéo (salut ami éditeur / groupe indé’ : tu nous envois tes produits à essayer et montrer ?) et aussi une collection d’archives de sessions SHMUP qui devrait dépasser le raisonnable. Ce sont aussi des tests rédigés, que vous pouvez d’ailleurs consulter dans ces pages pour l’instant. Il y a également une section DemoScene et la collaboration avec quelques évènements DemoParty devrait commencer d’ici la fin de l’année pour quelques lives et d’avantage de contenu.

Le rassemblement d’une rédaction devrait permettre de diversifier rapidement les sujets, vers du visuel, de l’audio, du hacking, du socio’… les champs du possible… ou broutent les licornes arc-en-ciel, toussa ;).

Le seul impératif actuel est le lancement d’au moins un nouveau contenu par semaine. J’espère sincèrement arriver à rapidement être débordé par ce que fourniront les différents contributeurs, rêvant secrètement d’un jour pouvoir dire « non ça ne va pas être possible, on a trop de trucs déjà à publier cette semaine ». D’ailleurs au fil des paragraphes vous l’avez remarqué ce mot : contributeurs. C’est bien de vous dont je parle.

Vous savez vous exprimer et écrire de manière intelligible ? Vous êtes autonome sur les outils web, connaissez le travail collaboratif et savez aménager votre espace au milieu de quelques contraintes ? Pourquoi ne pas nous rejoindre ? Certes, il existera une barrière, en soit idiote mais nécessaire, que sera l’age du contributeur : en dessous de 35 ans = no way. Il faut bien comprendre que le ton The Big Gameovski est totalement lié à ce recul qui fait de nous des dinosaures du numérique. On peut se permettre de se moquer des Millenials parce que nous on envoyait des hommes sur la lune avec ce processeur qui équipe aujourd’hui toutes les… machines à laver. On peut démonter un jeu d’apparence super bien fait parce qu’il n’est rien d’autre qu’un magnifique skin sur un programme qui existait il y a 15 ans. On peut geindre sur autre chose que le mal être car l’expérience nous à offert un certain recul sur la société, les gens, la vie. Ce ton, relativement absent d’une presse actuelle, est l’essence du projet The Big Gameovski.

Les contacts sont en cours et les candidatures toujours ouvertes, n’hésitez pas à soumettre vos rubriques, vos idées, votre propre part du projet. Il n’y a pas de qualification nécessaire à part être capable de s’exprimer clairement et surtout : s’engager à remettre le contenu à la date proposée. Votre seule autre contrainte sera une totale liberté !

 

ON COMMENCE HIER !

De mon point de vue effectivement je ne m’étais pas rendu compte que quelque part j’avais entamé le projet il y a déjà des années. En cumulant les best of de DemoParties. En rédigeant quelques tests souvent non publiés de jeux vidéo. Créant des articles sur des sujets satellites au numérique et poussant quelques coups de gueule sur les libertés individuelles écrasées par l’uniformisation de masse de la société. The Big Gameovski ne sera pas le journal « digital » d’un Che Guevara mais plutôt la résonance d’un Sex Pistols numérique qui place toujours un coup de pied sur le tibias quand tout va trop bien. Dans « Dune » ils disaient « le dormeur doit se réveiller ». Et sur une planète où ça ronfle en masse, croyez moi : il y a du boulot à faire ! Alors, vous nous rejoignez, tant lecteurs que contributeurs ?

 

Récap’ 2017 : les streams jeux vidéo…

The streamer backstage : shit happens…

La bonne… les voeux… toussa. Je profite du calme retombé pour vous poser un petit récapitulatif des jeux testés tout au long de cette année. Certes, pas la prétention de me la péter comme les 3 youtubeurs racoleurs du moment mais ce fut réellement un plaisir d’apprendre à streamer des parties live en 2017 pour partager des découvertes parfois assez géniales. Et mine de rien j’ai écumé pas mal de jeux toute cette année plutôt dense en nouveautés.

Ce dossier se compose des plusieurs parties. Les « Peut mieux faire » qui regroupent des jeux piochés à droite à gauche selon les arrivages, avec parfois quelques bonnes surprises, souvent des principes qui auraient mérité d’être d’avantage travaillés. Les « Validés », essentiellement des jeux qui me faisaient envie et sont généralement tout à fait recommandables ; vos goûts et préférence sauront faire les distinctions. La « Multi Zone » regroupe ce qui concerne les parties à plusieurs avec les merveilleuses interventions de la #TeamTousAPoil, capable du meilleur comme du pire. Et finalement « Les Crêmes » proposent les meilleurs streams, que ce soit par l’excellence des jeux ou les moments partagés. Exploration (et conclusion tout en bas) !

 

Peut mieux faire

Ghost Blade (schmup) :

Scanner Sombre (exploration) :

Sky Force (shmup) :

Darkwood (exploration / survie) :

Debris (exploration) :

Doki Doki Literature Club (chiant) :

Vector Strain (shmup) :

Tether VR (builder) :

Here They Lie VR (exploration) :

Thumper VR (course) :

Megaton Rainfall (shmup) :

 

Validés !

 

The Stanley Parable (parodique) :

Mazinger Z (retro) :

Little Nightmares (exploration) : [ Test complet ]

Limbo (exploration) :

Revolver 360 Reactor (shmup) :

Rime (exploration) :

What remains of Edith Finch (exploration) :

Blade and Soul (mmorpg) : [ Test complet ]

Tombe Raider the dagger of Xiang (exploration) :

Shikhondo (shmup) :

Rise Of The Tomb Raider (exploration) :

Nier Automata (gros mélange) :

Oxenfree (exploration) :

Moss VR (exploration) :

 

Multi Zone

Unturned (survie) :

Dead by Daylight (asymétrique) : [ Test complet ]

Fortnite (fps) :

The Division (fps) :

H1Z1 (fps) :

 

Cream of the Cream

The Last Guardian (exploration) : [ Test complet ]

The Last Guardian VR (exploration) :

Rez Infinite (shmup) :

Eve Valkyrie (simulation) :

Resident Evil 7 (exploration) :

Horizon Zero Dawn (exploration/fps) : [ Test complet ]

Inside (exploration) : [ Test complet ]

Crimzon Clover WI (shmup) :

Mushihimesama (shmup) :

L’étrange disparition de Ethan Carter (exploration) : [ Test complet ]

Hob (exploration) : [ Test complet ]

Echo (fps stratégique) :

Gran Turismo Sport + VR (simulation) :

Danmaku Unlimited 3 (shmup) :

Titanfall 2 (fps) :

Doom VFR (fps) :

Doom VFR full 360 (fps) :

 

Conclusion 2017 :

Pour ma première année de streams je ne me suis vraiment pas ennuyé ! Les productions étaient au rendez-vous tant en nombre que qualité. Quelques flops et déceptions, rapidement gommés par d’autres titres enthousiasmants. Mon plus gros regret concerne Rime sur lequel nous étions nombreux à avoir des grosses attentes, hélas pas comblées par le résultat proposé. A l’opposée nous avons Horizon Zero Dawn qui est une claque magistrale, tant en réalisation que gameplay, en conservant une accessibilité capable de régaler tant gamers que casuals. Ce qu’on appelle un « Must Have » sur la console de Sony ! Avec du retard sur tout le monde, j’avoue avoir été retourné par la magnifique aventure de Ethan Carter, jeu encore installé sur ma machine rien que pour me régaler de ses paysages troublants de réalisme. Je ne m’étendrais pas sur The Last Guardian, vous connaissez mon affection pour son développeur… ajoutez le sans hésitez à votre liste « Must Have PS4 » aussi. Grosse érection aussi pour Doom VFR qui réussi enfin à plonger réellement le joueur au coeur d’une action VR pêchue sans trop de souffrances pour son oreille interne <3.

Mais au milieu des titres à gros budget, il y a aussi des perles telles que Echo, capable de renouveler les façons de jouer d’une manière subtile. Hob qui offre une alternative splendide et parfaitement jouables aux Zelda-likes. Et même Inside qui dans son apparente simplicité ira ranimer de vieux neurones éteints chez le gamer tout en lui faisant parcourir une aventure inattendue.

Echo

Chouette année 2017 qui laisse espérer pas mal de nouvelles merveilles pour la suite si concepteurs et éditeurs ne se contentent pas de nous remixer les mêmes recettes qui marchent comme on le constate hélas trop souvent…